Présentation du volet TROUBLES de la PERSONNALITÉ et de l'HUMEUR de la section problématiques.
Ce volet introduit aux Praticiens apte à devenir une ressource, de par leurs expériences ou formations, en tant que démystificateur et accompagnant dans le processus de connaissance de soi et le développement de la capacité à réagir aux tourments vibratoires, sensoriels et émotionnels du quotidien. Nous savons que la santé mentale dépend d’une éducation émotionnelle adéquate et c’est ce que nous avons à t’offrir !
La majorité des troubles de personnalité considérés comme hors limite, tel que le TPL, la Bipolarité, le TDA et le TDAH, sont pour nous, non pas des maladies, mais des réactions dues à notre besoin d’être authentiques et il est temps que la société cesse de nous forcer à refouler nos émotions… ce qui fait de nous des bombes émotionnelles à retardement !
Introduction aux aspects des troubles de la PERSONNALITÉ et de l'HUMEUR
Les standards sociaux, familiaux et religieux nous ont dicté des frontières limitantes à la liberté d’être soi-même. Avec le temps, on a senti le besoin d’identifier, nommer et catégoriser tous les comportements hors normes et ceci a conduit à la création de stéréotypes, catalogués comme des malades et nécessitant de la médication, de l’isolement ou même des électrochocs pour les « ramener » à une « normalité » socialement acceptée. Les PSM ont compris la nécessité de se donner le droit d’être soi, dans l’authenticité et la liberté de communication. Nous croyons que les écarts émotionnels sont dus au refoulement émotionnel et il est grand temps de savoir que la colère et la tristesse aussi ont leur place, mais il faut savoir les gérer, mais lorsqu’on refoule depuis des disaines d’années, oui on explose maladroitement… Nous pouvons t’aider à marcher vers la légitimité humaine et la liberté émotionnelle !
La joie… oui la joie peut s’avéré un réel problème si elle n’est pas authentique ou si elle joue le rôle d’échappatoire à l’incapacité de s’exprimer en toute sincérité, si elle cache des larmes ou pire encore… de la colère. Lorsque la joie devient une imposture permanente à ce que nous sommes et ressentons vraiment au fond de nous, elle peut constituer une réelle prison ! Certains partenaires se sont rendus très malades dans le refoullement émotionnel et s’en sont sortis ! Permets-leurs de te venir en aide.
La colère, la rage et la frustration sont les plus refoulées des émotions. Dailleurs c’est précisément ce qui cause les plus grands excès !! Tu sais sûrement de quoi je parle… le sentiment d’être une bombe à retardement. La colère fait partie de nous, c’est même souvent avec la colère que l’on manifeste notre besoin d’aimer et être aimé… malheureusement, en secret. Se donner le droit de s’exprimer, de prendre sa place légitime ou de simplement communiquer une différence d’opinion ne devrait pas être la source d’une souffrance intérieure. Car c’est le refoulement qui provoque la blessure et non la colère elle-même !
La tristesse. Encore une fois, combien de douleurs à la gorge, au ventre, au coeur, parfois même des étourdissement causés par le refoulement de la peine et de la tristesse. Prends le temps de t’observer et constate l’immense délectation d’un pleur véritable, profond ou même explosif ! On nous a appris qu’on ne devait pas pleurer alors que c’est précisément ce qui nous fait du bien ! Pour toutes sortes de raisons aussi futiles les unes que les autres, se résumant toutes à l’illégitimité d’être soi ! Cacher sa fragilité, sa sensibilité et sa vulnérabilité dans le but de se protéger alors que nous privons les autres d’une accès à notre entièreté, nous nous refusons à recevoir TOUT l’amour auquel nous avons droit ! Nous devons supposément se protéger précisément de ce à quoi nous aspirons tous… l’amour!
Prennons simplement l’exemple du deuil, nous pleurons, ou nous refusons de pleurer, pour une personne que nous avons aimé. Nous avons développé le réflexe nocif de se concentrer sur l’absence de l’être cher alors que nous arions la possibilité d’observer l’amour qu’il nous a été permis d’expérimenter.
Le doute et le manque de confiance en soi et envers les autres proviennent de croyances limitantes issues de notre petite enfance. La majorité du temps, l’insécurité n’est que la reproduction d’un état émotionnel vibratoire inconscient que l’on reproduit spontannément étant enfants en observant nos parents. Cet état “nerveux” se perpétue dans le temps car la maladresse générée par l’appréhension et la nervosité provoque des résultats qui confirme constamment que nous sommes précisément ce que nous ne voulons pas être. On pourrait dire que cela repose sur l’incapacité à vivre au présent… l’anticipation faussée d’un futur hypothétique, basé sur les expériences (et résultats) du passé alors que nous étions innexpérimentés.
Les peurs. Le phénomène de la peur est issu de notre réflexe inconscient mais spontanné et inné de peur de mourir. Tout comme le doute et le manque de confiance, la peur est dans la majorité des cas une reproduction de réflexe acquis par imitation. Mais encore plus profond, il est né d’un désire beaucoup plus essentiel… Si seulement nous pouvions voir tout l’amour qui se cache derrière une peur. Notre âme s’est incarnée pour manifester l’amour dans la matière car l’homme a commencé à en douter. La peur naît de l’idée de ne pas pouvoir y arriver. Puis, l’inconfort physique provoque la naissance d’un égo qui croit ne pas pouvoir être aimé. Collatérallement, losque l’amour surgira, cet égo aura peur de mourir et refusera cet amour… c’est le paradox d’une vie humaine !
Les troubles comportementaux et d’humeurs souvent associés par leurs symptômes à des “maladies” et “diagnostiques” tels que le TDA, le TDAH, le TPL, la bipolarité et tous les autres types de modes de fonctionnement qui rendent la vie en société plutôt complexe, sont la manifestation de quêtes désespérées au droit d’être soi.
Nous sommes au berceau et déjà l’on nous impose des limites de temps, de contexte, d’apparence, etc. Se conformer à une société avec aussi peu d’ouverture à l’originalité et la différence peut mener à énormément de stress et de refoulement émotionnel.
Avec l’avènement des hypersensibles, la lourdeur sociale est à son comble car la différence devient palpable dans le corps, bien au delà de la tête. Nous devons apprivoiser le potentiel de connectivité qui nous incombe afin que cela devienne un outils et non une arme d’autodestruction.
L’instabilité émotionnelle générale qui s’expérimente souvent comme une perte de contôle et qui, la majorité du temps, fait peur autant à celui qui le vie qu’à son entourage, agit comme un tourbillon vibratoire et mental. La peur d’une perte de contrôle provoque une accélération de cette tornade interne. C’est avec des mots comme “dépression”, “burn-out”, “psychose” et j’en passe, que l’oubli du moment présent émerge.
L’humain a la capacité de vibrer puissamment et aussi de se connecter à d’autres, ce qui amplifie grandement ses états émotionnels. L’appréhension d’une chute ou d’un “high” qui nous ferait sortir des “standards” sociaux éjecte notre potentiel à nous centrer sur le présent et voir l’état pour ce qu’il est… un excès de perturbations sensorielles. Dans ces cas, une éducation s’impose afin d’apprendre à se connaître et à gérer ces tourbillons. Cela demande de l’entrainement et beaucoup de conscience et d’écoute de soi. Malheureusement la réaction face à l’incompréhension est trop souvent la chime, qui diminue énormément ces aptitudes.